Passion pour l’art

Passionné par la beauté en bijouterie, c’est tout naturellement que l’intérêt de David Mann s’est également étendu à l’art sous toutes ses formes. De la peinture à la sculpture par exemple, certaines oeuvres et certains artistes attirent régulièrement son attention : en voici quelques-uns.

Né en 1970 en Suisse à Schaffhouse, Olaf Breuning s’est depuis installé à New York. Son œuvre est hétéroclite : installations, films, photographies, dessins… Il puise son inspiration dans les codes visuels de la culture populaire, des clips vidéo, de la publicité ou encore des films de série Z.

Cette photographie, issue d’une édition de 6, peut être perçue par les uns comme une photo de classe de sympathiques bonshommes de neige, ou par les autres comme une moquerie de diablotins en neige face au réchauffement climatique… C’est cette multiplicité d’interprétations qui donne à l’art toute sa profondeur et son charme.

Né en 1966 à Roucourt, en région liégeoise, Jean Thomanne a exposé à Londres, Paris, Berlin, jusqu’à New York et même en Chine.

Jean Thomanne est en peinture comme il est dans la vie, empli d’un besoin immense de liberté, d’une volonté farouche de rester en marge. Imperméable aux influences, son authenticité le rend incomparable : on ne peut donc pas le résumer en l’intégrant dans un mouvement artistique.
Ayant attrape le goût du dessin dès son plus jeune âge, il continuera toute sa vie de rester fidèle à cette manière de voir avec laquelle il représente le monde, cette vision d’enfant dans la représentation.

Michel Frère est un artiste peintre expressionniste belge, né en 1961 à Bruxelles et mort le 1er juillet 1999. Il a étudié à l’École nationale des arts visuels de La Cambre, s’intéressant à la peinture, au pastel, au dessin, à la sculpture et à la photographie.

Il est pour David Mann celui qui a reproduit au mieux la nature de manière poétique, tels ses paysages d’Italie. On y voit d’ailleurs une sorte de jaillissement de la nature dans certaines de ses oeuvres.

Charlotte Beaudry est une peintre belge née à Huy le 29 mars 1968. Elle vit et travaille à Bruxelles. Partie rejoindre son frère à Londres pour développer sur le terrain un savoir-faire dans le domaine de la fresque et du trompe-l’œil, elle rompra avec cette pratique à son retour en Belgique et entamera une période de recherche. Elle expose dès 2003 lors d’expositions collectives en région liégeoise, et remporte en 2005 le prix de peinture Georges Collignon décerné au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Liège. Ses œuvres figurent aujourd’hui parmi d’importantes collections internationales.

A travers ces oeuvres, elle exprime une certaine forme de la pensée, les personnages sont sereins et pensifs, en réflexion.

Michael Kravagna est né en Autriche en 1962. Après avoir étudié à l’Université des Arts Appliqués de Vienne, il s’installe en Belgique au début des années 90.

Son travail se base sur l’exploration de ses propres éléments élémentaires : matérialité, sensualité, transcendance et défi à la perception humaine.
Nombre de ses œuvres les plus récentes sont chacune dominées par un geste pictural dominant : une ligne, une rayure, une surface uniformément essuyée, etc., qui dans une répétition ostentatoire dominent la structure formelle du tableau.

Né à Liège en 1953, Daniel est le fils du peintre Charles‑Félix Fourneau. Il se formera à l’Académie Royale des Beaux-Arts de notre belle Cité Ardente avant d’y retourner par la suite en tant que professeur. Considéré comme l’un des meilleurs peintres liégeois de sa génération, il a exposé en Belgique mais aussi à diverses reprises à l’étranger dont Bari, Marseille, New York ou Bâle.

Daniel Fourneau a horreur du vide. Il réagit donc en remplissant l’espace, que ce soit à la gouache ou à l’huile, sur de très grandes toiles qui ont trouvé ici un espace d’accrochage idéal. Comme d’autres se racontent sur les pages d’un journal intime, Daniel Fourneau – sur la feuille ou sur la toile – dessine vite tout ce qui sort de lui-même, ce qu’il a vu, ce qu’il a ressenti : en racontant des histoires, il raconte sa propre histoire.

Ces deux oeuvres se sont en quelque sorte trouvées par l’intermédiaire de David Mann, elles se complètent et s’harmonisent étonnamment bien.

Le tableau a été réalisé par le peintre Léopold Libert, le vase est quant à lui daté de 1958 d’artiste non identifié.

Robert Brandy, né Robert Brandenburger en 1946 à Luxembourg, découvre très tôt sa passion pour la peinture aspire à devenir artiste-peintre. Il s’installe à Aix-en-Provence en 1972, à cause de Paul Cézanne qui est son père spirituel. En 1976, il rentre à Luxembourg et depuis lors environ 135 expositions personnelles et des expositions collectives bien plus nombreuses ont fait circuler sa peinture, ses installations et boîtes à travers le monde entier.

Né à Bruxelles en 1946, Thierry Poncelet étudie aux Beaux-Arts et à Saint-Luc avant d’entrer dans l’atelier de Max Massot où il pratique la peinture à l’huile et se forme à la restauration de tableaux anciens. C’est de cette première discipline que naîtra ensuite l’aventure des « aristochiens » Impulsivement, Thierry Poncelet peint la tête d’un chien à la place du laid visage du portrait. La créativité de l’artiste pouvait enfin s’exprimer, pour notre plus grand ravissement.

Jean Tinguely, né le 22 mai 1925 à Fribourg et mort le 30 août 1991 à Berne, est un sculpteur, peintre et dessinateur suisse. En réaction à l’ambiance familiale autoritaire, Jean délaisse l’école et devient un lecteur assidu de Lord Byron, Alexandre le grand, Napoléon et trouve refuge dans les bois où il réalise ses premières méta-mécaniques, qui deviendront ses sculptures les plus connues.

David Pirotte est né à Liège en 1965 et rêve dans l’enfance d’une carrière de dessinateur de bandes dessinées : on peut facilement imaginer que son répertoire se constitue alors principalement des super-héros et des Pop Stars qui resurgissent encore régulièrement dans son travail. Etudiant à l’Institut Saint-Luc, l’artiste adopte dès ses débuts un style figuratif de tendance expressionniste qui va à contre-courant de la production habituelle des étudiants de Saint-Luc, mais il bénéficie déjà du soutien de ses professeurs qui remarquent immédiatement dans son travail, aisance et ténacité. Cette production rapidement abondante, trouve déjà un public lors de diverses expositions collectives dans la région liégeoise, mais également à Sedan ou à la galerie Art Wall à New York.

Miguel Ortiz Berrocal, né le 28 septembre 1933 à Villanueva de Algaidas, près de Malaga, décédé le 31 mai 2006 à Antequera, était un sculpteur espagnol. Ses sculptures les plus connues sont des sortes de puzzles, la sculpture principale se décomposant en de multiples pièces abstraites. Ses oeuvres ont été réalisées en tailles variées, de la sculpture monumentale en extérieur à des puzzles suffisamment petits pour être portés en tant que pendentifs.

Philippe Hoornaert est un artiste belge qui s’est formé à l’Académie Royale des Beaux-Arts et à l’Institut d’Architecture de Liège pour apprendre à maîtriser les techniques de peinture, de dessin, de sculpture. Il y enseignera d’ailleurs par la suite.
Quelle que soit la technique, c’est le travail sur la lumière qui intéresse principalement l’artiste. Cette volonté se ressent dans chacune de ses créations, de la sculpture monumentale en extérieur à l’aquarelle colorée.

Ci-dessous, Philippe Hoornaert présente une nouvelle approche à travers son hoo-logramme, une série d’oeuvres composée de taches d’encre.
“Le regard se perd dans ces bourrasques de tâches pour finir par plonger, comme elles, dans le vide cosmique… la LUMIÈRE.” – Laura Rosen

Enfin, ma passion pour l’art est ce qui m’a poussé vers la sculpture depuis plus de 20 ans. Lorsque je crée mes sculptures, mes thèmes de prédilection sont l’harmonie et l’équilibre des éléments. Je recherche différentes techniques de découpe en matière d’usinage et de fusion, entre industrie et art, pour créer prototypes et projets.

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